Vogue

Phoebe, toujours courant, pliée en deux, entra dans son vaisseau, qui s'ouvrit et démarra la procédure de décollage automatiquement quand elle prononça son nom à l'entrée.
Elle eut le temps, en s'engoufrant de voir le vaisseau d'Evan décoller et Darkdrapsag entrer dans le sien, tirant un dernier coup de blaster vers leurs poursuivants qui déboulaient sur la place.
Quelques instants après les vaisseaux décollaient.

Mais ils n'eurent pas bien loin...

Soudain, devant leur yeux ébahit, la porte blindée du hangars se referma, violement, leur barrant le passage de justesse. Evan braqua et evita la collision avec le mur avec une incroyable habileté, et il survolla le hangars, tournant en rond. Quand Sting baissa les yeux, afin de voir leur ennemi leur tirer dessus, ce n'est pas ce spectacle qui s'offrit à leur yeux.
Les soldats de la milice, en bas, levaient les yeux en l'air, regardant autour d'eux.

«Mais qu'est-ce que...?»

Soudaain, une force colossalle attira le vaisseaux au sol. Sur le tableau de bord, un indicateur leur signalait que les ammare magnétique avaient été activée. Et dans le cas d'une base spatiale Olianne comme Vogue, cela ne pouvait signifier que deux chose. Le blocus, ce qui n'avait aucun sens, ou...

«Non... C'est pas possible. (C'était Phoebe qui s'était exprimée, et elle affichait un air inquiet) Atterrit, Evan, s'il te plait...les moteur ne resisteront pas à l'ammare de Vogue, de toute façon.
-Pas de problème...»

Les autres personnes présente regardaient Phoebe avec un certain questionnement. Seul Valas semblait comprendre, ou du moins ne pas s'inquieter de la situation...
Quand le vaisseaux fut posé, violement, au sol, la milice ne fit pas plus attention à eux. Phoebe se précipita vers la rampe de sortie, et l'ouvra. Soudainement, alors que Darkdrapsag et Sting la suivaient de près, une voix olianne retentit à leur oreille. Une voix immense, omniprésente, car c'était celle des haut-parleurs fixé au plafond, qui répétait inlassablement les même paroles.

«...vous préparer. Attention, la station va passer en Hypersaut, veuillez vous préparer. Attention, la station...»

«Et merd*...» furent les seuls mot de la Révolutionnaire.

Au loin, les milices, les apeçurent à nouveaux, mais étrangement, ils ne tirèrent pas. Peut-être parceque les choses qui se déroulaient était loin d'être normale. Peut-être aussi parceque leur arme restaient lamentablement collée au sol magnétique. Mais ils ne semblaient pas avoir peur.

«C'est pas normal... Vogue, pour passer en Hypersaut, met des jour normalement. Tout le monde est prévenu des semaines à l'avance, et la station est inaccessible quelque jour avant l'Hypersaut. Ca n'a aucun sens...»

Soudain, sous les yeux ebahit de sa population qui s'était unanimement arretée dans leur tâche, scrutant vainement le ciel dans l'espoir de réponse, Vogue, la millénaire cité nomade, s'enfonça dans les profondeur de l'Hyperespace. Et, par les hublots, on pouvait apercevoir le spectable à la fois magnifique et terrifiant de milliers, de dizaines de milliers de paysage spatiaux défiler vélocement, à chaque fois que la station regagnait l'espace normal pour repartir aussitot... autre part... quelque part, on ne sait où...

Soudain, ce fut le Chaos. Les gens s'appeurèrent et fuyèrent pour aller nulle part. Car, soudainement, tout c'était enchaîné aussi vite que l'éclair.
Les éclairage principaux s'éteignirent de concert, plongeant la cité dans l'ombre relative de l'espace, uniquement éclairée par le léger flambeau des étoiles lointaines qui défilaient inlassablement. Les portes blindée s'abaissèrent, bloquant les quartier, les compartiment et les sous-bloc de la cité. L'energie ne circulait plus, l'air ne circulait plus, l'infosphère locale disparue, et tout lien avec la Megasphère aussi avec l'Hypersaut. Vogue s'était arrêté, pour voyager.

Une lueur blanche apparut dans le groupe. Valas, qui n'avait pas besoin de lumière, avait tout de même eut la décence, pour ses compagnon de fortune, de d'allumer son noble sabre. C'était le silence, personne ne parlait, car personne ne savait quoi dire. Tout cela n'avait vraiment aucun sens...

Après quelque minutes de silence absolu, la lumière revînt, mais une lumière rouge et inquiétante, une lumière tamisée. Suelques lumière eparse s'était allumée. Et, avec les lumière, l'esprit de Phoebe s'eclairci aussi. Et elle paru anxieuse...

«Je... crois comprendre..
-Et? Qu'est-ce qu'il y a a comprendre? demanda Sting. Tout ce que je vois, c'est une ville perdue au milieu de nulle part qui nous embaque de force en destination de nulle part... joyeux programme.»
-Je ne crois pas non... Ces lumières, ce sont les lumières de secours. Vous comprenez?
-Non, dit Darkdrapsag.
-Ces lumière sont les seules que seuls les olians contrôlent et que des membre de la sécurité ont du activée manuellement. Ce sont les seules lumières auquelles les IA n'ont pas accès...
-Mais que... vous voulez dire que?
-Que quelque chose cloche, oui... Venez, j'ai l'intuition qu'il est temps pour nous de rencontrer les Maîtres des lieux pour quelques explications...»

Et, ensemble, sans se concerter, le groupe se dirigea de là d'où il venait, vers le Coeur de Vogue... En evitant soigneusement les milice qui, même très préocupée par autre chose, avait peut-être encore le coeur à faire du zèle, ou peut-être l'esprit suffisement tordu pour les accuser du tord de la station...

Enfin arrivé et touchant au but, les vaisseaux des guildars commencèrent à fonctionner et décollèrent du sol métallique et froid ; seulement, il restait à ouvrir les portes gravement endommagées du hangar B58 de la station Vogue. En effet, celles-ci ne pouvaient s’ouvrir depuis la station du contrôle de la pièce ; l’attaque spatiale les avait rendus inopérables. Cependant, le problème ne résidait pas là, mais plutôt dans le fait qu’ils étaient la proie - en plus de la sécurité draconienne de la Cité-Nomade - de chasseurs dangereux et avides de massacre. Les Forces de l’Ordre de Vogue étaient d’ailleurs énormément diminuées, mais dans le cœur de tous et principalement ceux dont la connectivité à la Force et donc aux Sphères ressentaient de l’angoisse ainsi que de la peur comme jamais jusque là ! La situation se brusqua, et les évènements s’enchainèrent rapidement… il leur fallait désormais changer tous leurs plans maintenant.

Lors de la mise en mode de survie de la station pour ses occupants ‘vivants’, Valas en profita pour sortir avec le reste des de la compagnie - logeant dans les deux vaisseaux - pour sortir et voir plus en détail ce qui se passait à l’extérieur… enfin l’intérieur de Vogue en tout cas. Il fit disparaitre la lumière émanant de son sabre (qui n’est pas un sabre laser :@ lol) et laissa les lumières de secours tamiser le sol et les murs du hangar pour le regard de tous. La situation avait évoluée, et déjà ils partaient à leur point de départ qu’était le cœur de Vogue. Le Maître Silencieux en dernier étant peut-être peu brave, devancé par la belle Sheim en première position dans la file. Ils réussirent à passer avec discrétion entre les différentes patrouilles en désordres, ainsi que les habitants de la station sombrant dans une sorte de folie.

Bientôt, la troupe s’arrêta dans une partie sombre et dissimulé. Une pause n’était pas obligatoire, mais il semblait que certains désirait s’arrêter un instant pour discuter de certaines choses.

« - Nous n’avons peut-être rien dit, et n’avons pas eu besoin de nous concerter pour savoir où nous diriger mais dit la silencieuse doucement, je crois que nous ferions mieux d’établir un plan. Il n’est pas bon de se jeter dans la gueule du ver des sables aussi hâtivement… »

Non loin de là, quelques cris commençaient à retentir dans les couloirs. Les touristes penseront à une autre destination de repos pour leurs vacances stellaires la prochaine fois…

Post PNJ: Sting

L'esprit de Sting marchait à plein régime ainsi, semblait-il, que celui des autres membres du groupe, à voir leur air absorbé.
Les paroles de la révolutionaire résonnait encore dans sa tête"Ces lumière sont les seules que seuls les olians contrôlent et que des membre de la sécurité ont du activée manuellement. Ce sont les seules lumières auquelles les IA n'ont pas accès"
Ainsi, les IA de la station avaient "déconnées" pour parler vulgairement. Mais quelle pouvait en être la cause?

Un pensée lui vint. Il demanda à Phoebe
"Et ce sont les IA qui controlent l'entrée dans l'hyperespace de Vogue"
Toujours marchant rapidement, celle-ci hocha la tête. Un regard jeté à Evan et à Darkdrapsag lui indiqua qu'ils étaient en train d'arriver à la même conclusion que lui. Quant aux silencieux, ils étaient, comme à leur habitude impénétrables.
Ainsi donc les IA de la station avaient pris des décisions incompréhensibles. La possibilité d'une rebellion des IA était ridicule et digne d'un mauvais feuilleton de l'holonet. Quelquechose avait donc pris le contrôle de l'Intelligence artificielle de la station spatiale. Mais quelle force incroyable avait-elle pu...
A ce moment, il vit que les silencieux s'étaient arrétés pour se concerter. Une seule question restait dans l'esprit de Sting: où était le centre informatique de la station? le coeur de Vogue...
Sting attendit que Pheim prenne la parole.

- Tout cela ne me dit rien qui vaille, glissa evan
- Ca sent le coup foireux oui. Et puis il est où le centre de controle
- On le trouvera, ce qui m'inquiete c'est qui va t'on y trouver.

- Et ce sont les IA qui controlent l'entrée dans l'hyperespace de Vogue? dit Sting sortant evan de ses pensée
Lui aussi pensait qu'il y avait un probleme avec ceux qui controlait la ville et apparement tout le monde avait aboutit a la meme conclusion.

Il fallait donc etablir un plan dès maintenant pour eviter d'etre pris au depourvu

Situation critique, démence et frénésie de la mort dans l’hyper-espace, et véritable apocalypse… de quoi donner envie de quitter la Cité-Nomade au plus vite avant que celle-ci ne réussisse à réduire le nombre de ses occupants à un beau néant imagé par le chiffre zéro. Phaem, Sheim et le reste du groupe de réfugiés se trouvait dans une sorte d’appartement de bas-étage mais amplement suffisant pour une discussion et établir un plan d’attaque ou de défense face à la situation. Aucune âme qui vive à l’intérieur, seul les cris au-dehors rappelé la présence des habitants de la station parmi-eux. Un bruit dont certains ce serait sincèrement passé…

« - Nous sommes seuls ; les habitants ainsi que la sécurité de la station nous seront d’aucun secours, et nos effectifs ont déjà quittés la station à bord de vaisseaux. Il ne reste que nous, annonça Sheim dépité par la situation.. Evitons d’être pris au dépourvu, et établissons un plan avant que... soudain une explosion retentit ; la situation n’empire ! »

Malgré cette belle introduction à la discussion, l’Olianne ne savait que dire en sachant pertinemment ce qui se passait réellement tout autour d’eux. Un regard en direction de son supérieur hiérarchique et elle voyait bien que celui-ci ne lui rendait pas la tâche plus facile en restant emmuré dans son silence permanent. Mais en même temps, avec sa détermination de garder la tête froide en toute situation procurait en elle un sentiment de protection et de bien-être similaire à celui que l’on éprouve avant de venir au monde… Sheim entreprit alors de dire la vérité à Evan, Sting et les autres concernant les marionnettistes de cette terrible mascarade.

« - Pour faire simple et en allant directement au but, je dirais que seul les IA vierges peuvent être responsables de la situation que nous connaissons actuellement. Selon l’histoire que vous déjà dût tous entendre en pénétrant dans Vogue est que ces IA se trouveraient dans un lieux confiné et à l’abri… plus profondément dans le cœur de la station que nous y étions. Seulement… cela serait trop facile à déduire, même un enfant Olian en serait capable. Quelqu’un d’autre tire les ficelles de ses pantins pour les faire accuser, et surtout pour nous toucher nous ! »

¤ L’Ordre du Chaos ! ¤ Fit une voix forte et mélodieuse à l’oreille de tous. Valas venait enfin de prendre la parole par le biais de la musique des Sphères.

- L’Ordre du Chaos ! Fit une voix forte et mélodieuse

" et bien il parle pas bcp celui la, moins que moins et c pas peu dire mais au moins c concis et clair...j'aime"

- l'ordre du chaos!! s'exclama ashran, ils sont a vous ce que les sith sont aux jedis non?
- En gros, coupa evan qui n'avait pas envie d'une discussion philosophique, vous pesez donc que l'ordre du chaos serait derriere tout ça, un groupuscule ou orcheron lui meme?

«Nous n'y somme pour rien... pour une fois» dit une douce fois qui venaient de l'entrée de la pièce.

C'était une femme Olianne qui se présentait au petit groupe. Elle était belle dans sa simplicité, les cheveux brun qui retombaient dans le dos, et ses deux ailes fragiles repliée dans le dos. Elle avait la peau blanche, comme celle de certain humain, et des yeux vert qui brillaient d'une intelligence peu commune. A sa ceinture pendait le manche d'un sabre-laser, au formes travaillée.
L'Olianne se tenait là, immobile et souriante, à l'entrée de l'appartement. Elle était loin d'être menaçante, et avait même tendance à être avenante à ce moment là.
Elle s'aprocha du groupe et s'assit sur un fauteuil laissé libre, sous les yeux du groupe réunit au complet. Seul Valas ne laissait passer aucune emotion. Il savait... lui.

«-Les choses se précipitent. Tout va beaucoup trop vite pour vous, tout comme pour nous. Je crois, et mon Maître pense comme moi, qu'il est temps d'oublier nos ancienne querelle, car de grande choses, terribles, vont arriver.
-Qui êtes vous? demanda Darkdrapsag, méfiant, tandis que Sting avait brandit un blaster, prêt à abbatre l'intru.
-Pour l'instant, je ne suis pas une ennemie. Vous me reconaissez, n'est-ce pas, Maître Valas Des Phaem. (Elle souria) Jadis je fut des vôtre, avant que vous ne me déceviez...»

"Qui êtes vous?" interrogea Darkdrapsag, il avait pris l'habitude de poser des questions inutiles dans les situations imprévues, pour se donner le temps de réfléchir. Bien entendu, l'olianne répondit par une parabole, comme toujours dans ce genre de cas.
«Pour l'instant, je ne suis pas une ennemie. Vous me reconaissez, n'est-ce pas, Maître Valas Des Phaem. (Elle sourit) Jadis je fut des vôtre, avant que vous ne me déceviez...»

Darkdrapsag n'était pas du tout convaincu par les protestations de non-hostilité de l'olianne. Il envisagea un moment d'abattre l'olianne sans somation, avant qu'elle ne devienne un danger où qu'elle ne convainque d'autre membres du groupe, mais il ne disposait pas encore d'assez d'informations à son goût.
Ainsi, c'était une ancienne silencieuse? Elle avait quelquechose de dérangeant, une lueur dans ses yeux.

Des bouts de phrases revinrent à l'esprit de Darkdrapsag
"L'ordre du chaos"
"Nous n'y sommes pour rien"
et puis les paroles d'un olian avec lequel il avait discuté:
"L'ordre du chaos était la pire chose au monde, pire que vos siths, ils ne voulaient pas juste le pouvoir, ils voulaient plonger la galaxie dans le chaos pour qu'un soi-disant nouvel ordre surgisse, heureusement, ils ont été exterminés"
Apparemment l'olian s'était trompé, car celle qui se tenait devat lui appartenait bien à l'ordre du Chaos! Cela n'inspirait pas confiance à Darkdrapsag.
Il réfléchit à l'affirmation de l'olianne:
"Nous n'y sommes pour rien"
Il n'avait pas confiance en la jeune olianne, mais son habitude des mystères lui soufflait que le chaos ne pouvait être la cause, du moins pas la cause directe de ce qui était arrivé. Comment un ordre quasimet disparu aurait-il pu prendre le contrôle d'une station spatiale?
Il réfléchit aux acteurs de la gigantesque trame qui se jouait entre deux galaxies...
La République.... bien sûr que non
La Guilde... non, il le savait
Les siths? pourquoi... et comment? peu probable
Les Vongs... détruits, ce n'étaient pas eux
Le dictateur Finera? peut-être, cela pouvait être un de ses coups tordus
La flotte inconnue? On avait pas d'informations dessus, mais cela semblait dans leurs moyens.

Il prit la parole de nouveau, pour poser cette fois-ci, une vrai question:
"Vous dites que vous n'êtes pas responsable, alors qui? Proposez-nous une solution crédible, vous savez quelquechose"

Avant qu’une seule réponse vraie, fausse ou encore sous forme d’énigme ne soit donnée par l’étrange Olianne, celle-ci se retrouva propulser hors de la pièce en traversant le mur ouest menant dans des corridors désert. Au vu des apparences, son arrivé parmi eux n’était pas apprécié de tous… principalement des Guerriers du Silence visiblement. Encore inconnue à la majorité du groupe, cette ex-Silencieuse semblait bien être connue malgré l’absence d’information qu’elle put donner concernant son identité avant qu’on ne la ‘bouscule’ ! Le temps ne semblait plus être à la discussion dorénavant, mais plutôt à l’action. Dans les couloirs vides de la Station-Nomade, l’Olianne n’eût guère le temps de se remettre de ses émotions car on l’attaqua soudainement, mais de front cette fois-ci. La silhouette de son agresseur était celle d’une femme, et Sheim n’était plus avec le reste du groupe…

De son côté, Valas préférait rester calme et serein, comme le voir autrement ? Le Maître du Silence regarda un instant Evan et les autres, et l’on presque put imaginer déceler sur son visage la trace d’un sourire. Seulement la poussière recouvra le champ de vision de tous, et ils ne purent alors qu’écouter ce qui se passait entre Sheim et l’autre Olianne. Celle-ci ne tarda d’ailleurs pas à faire une nouvelle entrée, plus originale que la première et plus fracassante que sa sortie. Elle se prépara à se défendre plus agressivement qu’elle ne l’avait jusque là lorsque la Guerrière du Silence arriva sur elle… Un pas de côté, et elle n’aurait plus qu’eût à activer son arme pour en terminer avec ce combat absurde, mais son geste – probablement celle de la raison, ou de l’obéissance à certains ordre – ne fût pas exécuté. Sheim en fit de même, voyant que son ennemie ne faisait rien. La situation était ambigüe, et il fallait l’intervention de Valas pour calmer les deux esprits.

- Inconnue à la génération nouvelle, mais pas aux anciennes qui sont toujours ici… Dit-il à travers les Sphères, « le chaos règne désormais ici, n’est-ce pas… Lye ? »

Pour les personnes les plus cultivés participant à la scène, la révélation de ce nom rappela à certains l’identité véritable de cette nouvelle arrivante. Sheim en première, faisant partie de l’Ordre du Silence et ayant entendu l’histoire de l’Olianne se tenant face à elle. Elle déglutit difficilement, ne dit plus un mot et ne fit plus aucun geste malveillant à l’encontre de Lye.



[hrp]Excusez moi des fautes et du récit pas top, mais là y a plein de gens au CDI qui me lisent !!! J'aime pas ça... je bâcle donc un peu mon post. Et vous donne certaines info peut-être utile pour avancer plus rapidement : même si j'ai demandé qu'on ne touche pas trop à mon perso c'est juste que je veux pas qu'on lui fasse faire des cabrioles ou bien encore parler c'est tout, et pour Sheim, vous pouvez la faire interargir comme vous voulez tant qu'elle ne se fout pas nue dans la station
ps: si vous voulez, vous pouvez faire en sorte qu'elle vous raconte la rapide histoire de Lye, car je crois bien que c'est cette fille... me trompe ? lol Bon post ![/hrp]

[pff si on peut pas la mettre a poil.... sinon c qui Lye??? ]


Evan et les autres avient assister a la scene, impuissant. Que pouvait faire des etres ne maitrisant pas la force ou tout du moins pas comme des jedi, silencieux...contre des chevalier armés de sabre laser. Peut etre le defel aurait-il pu tirer mais il risquait de nblesser qq'un, combattant ou spectateur via un renvoie de tir. S'approcher?? eheh pas folle la guepe et cela faisait lgtps qu'il ne mettait plus ses canon d'avant bras en cortose ni n'emmenait sa lame. Et puis de tt facon ct pas son probleme.

Avant qu'il n'arrive a la fin de ses reflexion le combat cessa.

Lye, elle s'appelait Lye. Pouquoi se nom lui disait-il qq chose...impossible de s'en rappeler et pourtant se nom resonnait dans son subconscient.


Midgard, n'etait-ce pas elle qui fut impliqué dans l'enorme fiasco? Celle que l'ordre du Silence avait par la suite fait rechercher?
Possible, Evan ne s'en souvenait plus trop, mais il etait sur d'avoir deja rencontrer cette personne...

Lye eteignit son arme. Elle aurait pu tuer la jeune Silencieuse, sans trop de problème, mais elle ne l'avait pas fait car elle avait d'autres ordres. De plus, Valas Des Phaem n'était pas loin, et seul Orcheron ou Nebel auraient été capable de battre ce dernier. Et ils n'étaient pas à ses cotés en ce moment.

«-Que de violence, que de haine. Vous-ai-je attaqué? Vous ai-je menacé, Silencieux?
-Vous l'auriez fait, lui dit Sheim.
-Vous ne conaissez que trop mal mon Ordre, jeune Silencieuse. Vous ingorez tout de nous. Tout.»

Soudain, Lye perdue son visage angélique, et on pu lire la colère dans ses yeux. Une colère terrible, destructrice autant qu'elle fut brève. Son visage redevînt serein. Ce n'était pas un masque, et elle était bel et bien sereine à ce moment. Lye avait atteint un niveau de contrôle de ses emotions assez impressionant, pour une ancienne Silencieuse.

«-L'Ordre du Chaos n'y est pour rien dans ce passage en Hypersaut. Nous ne contrôlons pas la station, et l'ordre du Saut viens du centre nevralgique de la Vogue...
-Le Secteur Primaire... souffla Phoebe.
-Les IA ont fait ce choix. Pourquoi? Nous ne le savons pas. Et où se rend Vogue? Nous n'avons pas plus d'indice là-dessus. Tout ce que nous savons, c'est ce qu'il faut faire: arrêter Vogue avant qu'elle n'arrive à destination.
-Pourquoi nous vous ferions confiance? demanda Sheim.
-Pourquoi? Parceque, si nous sommes vos ennemi, nous n'avons pas envie de mourir dans ce tombeau. Pas plus que vous... Et on ne sait pas où nous amènent les IA. On s'en doute juste...
-Où?
-Nous verrons bien le moment venu.
-Que faisiez-vous ici, pour commencer? lui demanda Sting, toujours ses armes pointévers l'Olianne.
-Eviter ce que nous soupçonions qu'il arrive. Et nous sommes venu trop tard, semblerait-il... Nous avons des... interets, dans cette station. Je ne puis vous en dire plus, vous comprendrez sûrement.»

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Sting avait peur. Il avait peur, et il ne savait pas pourquoi. Cette femme, si elle semblait être une puissante sabreuse, ne lui inspirait pas confiance, certe, comme pour tout le reste du groupe. Mais il avait déjà fait façe à dess Jedi Noir dans ses début de carrière. Des fous, anarchistes et sans foi ni loi, qu'il avait sû faire abbattre avant qu'il ne deviennent dangeureux. Ce n'était pas ça...
Cette peur, elle venait de l'intérieur. Elle ne naissait pas ainsi en son coeur, comme inspiré de cette Force invisible. Non, ses pensée s'embrouillaient, ses sentiments s'entremélaient comme il ne l'avait jamais sentit. Son âme était exposé au Chaos. Voilà ce qui lui faisait peur.

Il déglutit cependant, et osa demander à la Chaotique qui semblait si sereine et loin de la vision du Mal absolu que l'on se fait, et qu'incarnent bien les Jedi Noirs et les Sith, parait-il, même s'il n'avait jamais vu de ces derniers.
«-Nous? Pourquoi dites-vous "Nous"? Combien êtes-vous ici?
-Deux... seulement...» vînt dire une autre voix, froide, glaciale. La voix de la Mort, si cette dernière en avait une...

Une silhouette apparu dans l'encadrement de la porte. Une haute silhouette, sans aîle, aux cheuveux blanc tombant jusqu'au jambes. Ses yeux brillaient d'une lueur bleue, froide comme la glace, terrifiante comme le Néant.
Tout de suite, Sheim brandi son sabre. Valas, dont le visage se durcit, mit la main à son arme lui aussi. Tout les autres, Evan, Ashran, Darkdrapsag, Phoebe et lui-même, pointèrent sur le nouvel arrivant...

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Chaos...
Voilà ce qu'il insuflait au coeur de ses ennemi. Sans le vouloir toutefois ; il en était issu, et il en était maintenant la Voix. L'Avatar. L'Anomalie dans un monde ordonné...
Il ne souriait pas. Il regardait froidement, un léger rictus dessiné sur sa bouche, le groupe qui le fixait intensément. Assurément, son entrée était encore réussie...
Il posa sa main sur ses deux sabre, acroché à sa ceinture. Il engloba du regard toute la pièce, et se posa une main sur l'épaule de Lye.

«Viens, Lye. Et vous autres... suivez-moi là où les choses se passent.»

Il se retourna et, suivit de l'Olianne Chaotique, il se dirigea vers l'escalier extérieur qui donnait sur la rue. Les deux Guerriers du Chaos sortirent dehors, dans les artères de Vogues qui se vidaient peu à peu de monde, paniqués, qui se rendaient tous dans leur Secteur ou dans les Hangars, prêt à fuir la station devenue folle.
La milice tentait de calmer le monde, mais cette même milice était paniquée, les choses s'envenimaient, et dans ce Chaos, il y eut plusieurs civils de tué. La Peur, la Folie, et tout le monde était à égalité dans ce bourbier. Seuls les plus forts s'en tireraient.
Orcheron aimait ça...
Voyant que Lye et la Voix du Chaos étaient les seules personnes dans cette rue à ne pas fuir, la milice vient à eux, pour leur indiquer le chemin. Avant même que ceux-ci ne puissent parler, une terrible foudre, née de la paume d'Orcheron, vînt les frapper. Ils agonisèrent tous, dans de terrible cris de douleur et de souffrance, faisait fuir les habitant paniqué vers d'autre Secteurs.
«Maitre... était-ce nécéssaire?
-Non. Mais je n'ai ni le temps, ni l'envie de me justifier devant ces gens. (Il se retourna vers le haut de l'escalier). Alors, qu'est-ce qu'il font? Je pensait les Silencieux plus prompt à me suivre, au moins pour tenter de me trucider.
-Oh... croyez-moi... Ils sont très nerveux. Je me suis sentit quelque peu rejeté, dans tout les sens du terme, lors de mon arrivée. (Orcheron rit)
-Lye... tu as encore beaucoup à apprendre en matière de diplomatie...»

Et c'est là, au milieu de cadavre fumant que les deux Chaotique attendaient le groupe de fortune qui, décidément, en voyait de toute les couleurs...

Un autre etre s'integra a la conversation: Orcheron, l'avatar du chaos. Ne disant rpesque pas un mot, il invita tous les protagonsite a la suivre vers la où les chose se passent pour le citer.
" décidement, ya bcp de monde sur cette station manque plus qu'un impeer, un jedi et un sith"

- qu'est ce qu'on fait? demanda Ashran
- on a pas trop le choix, dit darkdrapsag
- tout cela ne me dit rien ui vaille (sting)
- Peut etre mais come la dit Darkdrapsag on a pa le choix et puis valas del phaem est avec nous (evan)
- j'espere qu'il git plus qu'il ne parle (ashran)
- je ne vous permet pas (sheim)
- il faut se decider (sting)

Evan lui commencait deja a avancer, il pu donc voir l'éxécution sommaire des deux miliciens
" hum...il fait pas dans la dentelle, il faudra y faire attention"

- bon vous venez, interpella evan aux autres

La présence d'orcheron ne présageait rien de bon mais peut etre valait t-il mieux lavoir a porter de vue. C'etait un homme dangereux qu'il ne fallait surement pas indisposer mais evan n'en avait cure, le chaos ne lui faisait aps peur, son réprésentant non plus.

Un sabre vert vînt s'interposer sur le chemin mortel de la lame du Silencieux.

«Vous êtes... inconscient...»

Orcheron se retourna et frappa sur Valas, si vite qu'il en devînt une ombre diffue. Si le Silencieux réussit à parer de justesse, la Voix du Chaos se remit immédiatement en posture de combat. Alors que les autres s'éloignaient, sachant que cette bataille entre les deux titan des Sphères ne regardaient qu'eux, les deux Olian se regardèrent dans les yeux. Ceux du Silencieux était calme, et concentré, et ceux de la Voix du Chaos semblait tout aussi concentré, et tout aussi calme. Il voulait tuer, ou pas. Ilpossible de le savoir. Mais il voulait le faire froidement, non sans aucune emotion, mais comme si cela avait été son devoir, et non son désir. Et derrière ce masque de froide terreur, se cachait le germe de la folie. La Folie, pure, destructrice, absolue. Celle qui à fait de l'homme qu'était jadis Orcheron le porteur de l'effondrement de toute choses. Celui qui avait non seulement l'envie, mais aussi la capacité de le faire.
Les deux Olian se précipitèrent l'un vers l'autre, arme levée. Les deux Titans des Sphères se rencontrèrent dans un terrible choc d'energie, de pouvoir et de courroux, si collossal que les fondement même de la station devait en avoir été ébranlé, et que le vide lui-même auraitr pu en avoir des frisson.
Et ce n'était pas qu'une métaphore. Lors de la rencontre, les spéctateurs impuissants furent projeté en arrière par une force invisible. Si bien que ne resta plus, debout, que les deux être qui commençaient leur terrible combat.

Puis ce dernier commença vraiment. Après le protocole, les deux êtres s'échangaient les coup si vite que l'oeil humain ne pouvait les suivre. Leurs lames et eux étaient devenus un tourbillons de pouvoir indescriptible. Il n'y avait plus de place à l'erreur, plus de place à l'erreur Une seconde, un instant, des plus infimes, d'innatention, et le fautif mourrait sur le coup.
Les spectaeur ne le remarquèrent sûrement pas, à part peut-être Lye et Sheim, mais Orcheron avait prit l'avantage lentement, à coup d'attaque répétée, cachée derrière une défense indestructible. Le Silencieux perdait de la force, ça ce dernier donnait toute son energie dans ce combat, si bien que comme tout les Olian du monde, il finit par faiblir. Orcheron aussi se donnait entièrement. Mais cela faisait un long moment déjà qu'il n'était plus vraiment un Olian...
Un coup plus rapide que le son porté au hanche du porteur de Silence, paré, puis un autre coup de son deuxième sabre rouge vers la tête, paré lui-aussi, puis vînt l'instant de trop. Le moment, court, presque invisible pour l'être non initié, qui allait mener Valas à sa perte. Orcheron sentit la Musique des Sphère chanter une douce mélodie, comme un signal. Il sut lire ce signe, le comprendre, et en un instant, il vu la faille, l'erreur dans le déroulement logique des évènement. Il profita, pénétra la faille et...
Soudain Valas dut repoussé en arrière. Jusque-là, il avait sû gérer le combat, et il avait perdu en un instant tout contrôle. Orcheron fit chanter les Sphères afin que leur son étreigne le corps du Silencieux. Orcheron fit un tour sur lui-même, et portant toute son energie dans ses deux sabre, il frappa la lame de Valas, qui s'en alla voler et glisser sur le sol froid de la station. Un autre appel des Sphère et une puissante onde vînt balayer le Silencieux de part en part, le repoussant encore plus. Puis Orcheron sauta sur son adversaire, croisant les sabre, et fit tomber Valas au sol, allongé, avant de menacer de ses deux lame brûlante la gorge de l'ennemi. Il resta là, à le fixer, un léger rictus au lèvre, tandis que Valas le regardait aussi, toujours aussi confiant.

Les deux autre serviteur des Sphères ne s'était pas livré un duel. Ils s'étaient contenté de regarder, prêt à agir au càs où. Mais ce moment ne vînt pas.

«-Un geste, Sheim, et toi et Valas mourrez. Lye est parfaitement capable de te tuer. (Il regarda les autres) Comme elle pourrait tous vous tuer.
-Ca me ferait une belle jambe, dit Sting»

Orcheron regarda Lye laisser jaillir la cascade d'energie Or de son sabre, et regarder les membres du groupe. Puis, il s'en retourna à Valas.

«Pourquoi avoir tenté? Tu sais bien que je suis bien plus puissant que quiconque. Vaine tentative, essuyée d'un echec. Et tout cela pour rien, alors que j'ai à vous montrer quelque chose de... particulièrement interressant. Mais, puisque il doit en être ainsi, Sheim sera peut-être plus "compréhensive" que toi.
«Tu va mourir, Valas. Pour rien, c'est bête. Et personne ne te sauvera. Tu va mourir de mes main, et tu va connaître ce Chaos intérieur que je n'ai jamais su te faire connaître»

Orcheron désactiva son sabre rouge, et le rangea à sa ceinture tout en maintenant Valas de l'autre. Puis il vînt place sa main à la poitrine de l'Olian. Soudain, il n'y eut plus qu'eux deux.
Les autres disparurent, comme le reste du monde. Le sabre vert d'Orcheron se désactiva soudainement, et disparu dans le Néant qui semblait avoir entouré les deux êtres dans leur étreinte mortelle. Il n'y eut plus qu'eux, dans un Univers de vide. La Musique des Sphère semblait chanter un long requiem en ce "lieu", un requiem de mort et de destruction, si fort qu'il en assourdissait les sens des deux hommes. C'était un monde à part qu'ils formaient tout deux de leur être, un monde bipolaire, où la Mort et la Vie, le Début et la Fin, le Chaos et l'Ordre incarnait respectivement Orcheron et Valas. Deux opposé dans le même monde. Deux inverses qui se rejoignent.
Puis, les deux pôle se fondirent l'un dans l'autre, un terrible échange d'energie ayant lieu entre la main et la poitrine du Silencieux, perturbant la stabilité de ce monde isolé. Les Sphères vibrèrent, entonnant un terrible et monstrueux chant qui semblait aller au delà de l'entente olianne. Les deux pôles qui formaient ce petit monde disparaissaient, l'un des deux grandissait peu à peu tandis que l'autre disparaissait, consummé par une force presque infinie. De la main d'Orcheron afluait un pouvoir sans borne, liant Chaos, Destruction et Mort pour consumer l'être, l'âme et l'existence même de son adversaire. Les deux hommes étaient entourés d'un maelstrom d'energie qui avit gradit de la main d'Orcheron, les enveloppant et faisant d'eux deux archanges de lumière aveuglante.

Mais il y eut quelque chose qui se passa. Soudainement, le flux d'energie qui venait consommer Valas s'échanga. Le pouvoir terrifiant ne courrait plus uniquement du Chaos vers le Silencieux, et peu à peu, une boucle se forma. L'échange eut lieu, le pouvoir devînt réciproque, traversant un couloir d'Ordre pour rejoindre en grondant le Chaos destructeur. L'un dans l'autre, les deux être ne luttait plus. Ils étaient devenu Un, et Tout, Unique en tout sens, partageant un seul et même pouvoir sans fin qui fluctuait de l'un à l'autre. Il étaient, en somme, devenu un seul et même coeur de pouvoir, au-delà de leur existences propres.

Puis tout prit fin. Le monde réaparut autour d'eux, la lumière disparu, et la main d'Orcheron quitta la poitrine du Silencieux. Il n'y eut plus de maelstrom, ni de coeur de pouvoir, mais bel et bien deux être séparés dans un monde qui ne leur appartenait plus. Un monde qu'ils ne formaient plus.
Tous les regardaient, immobiles, térrifiés. Tous, et même les quelques être humain présent ici, avait ressentit le Pouvoir. Mais personne, sauf Valas et Orcheron, ne savait ce qui s'était réellement passé.
Orcheron avait voulu détruire son ennemi, jusqu'à son existence même dans la trame de ce monde. Il n'avait pas prévu cela. Il n'avait pas prévu que Valas, comme son opposé parfait, son pôle inverse, ne puisse pas être détruit ainsi. Et désormais, au contraire d'avoir brisé ce pouvoir binaire, au contraire d'avoir prit le monopole d'un pouvoir infini, Orcheron avait créée une boucle de pouvoir sans fin, un lien imperceptible qui réunissait maintenant les deux êtres. Ils étaient redevenu un, chacun de leur coté, et pourtant... quelque chose leur était devenu commun. Moins qu'une intuition, moins qu'un lien télépathique, moins qu'une Empathie... mais un lien bien plus fort et plus solide que jamais.

Orcheron n'avait pas prévu ça. Non... il n'était plus temps de tuer le Silencieux, maintenant. Il ramassa ses sabres, essouflé, et attendit la réaction de Valas Del Phaem.

A peine la lame d'or avait jailli du sabre de Lye qu'Evan braqua son fusil blaster sur elle.
- Vous m'avez l'air rapide, lui dit Lye, j'avoue que vous m'avez surprise en degainant aussi vite mais je ne referais pas deux fois la meme erreur, ne tentez meme pas de tirer.
- vous seriez surprise de voir a quelle point je suis rapide.
- il l'est, glissa Ashran
- Ne soyez pas stupide (lye)
- elle a raison Lupin, intervint Sting, ne soyez pas présomptueux
- Non mais faut eviter de lui dire se genre de chose (darkdrapsag)
- Il aime pas qu'on le prenne pour un naz (ashran)
- Ecoutez le Républicain, vous n'etes pas de taille.
- Eh, vous etes tous contre moi ou quoi, j'essaie slmt de nous protéger si cette jeune femme tente quelque chose
- je ne tente jamais rien, je fait
- le celebre crédo: fait le ou ne le fait pas il n'y a pas d'essai, je l'applique, essayer c envisager l'echec, je ne le fait jamais.
- Si on essayait de se calmer (Sheim). Moi je pourrais te battre.
- Si la situation n'etait pas si grave, j'en rirais.

Pendant qu'a coté Valas et Orcheron s'affrontaient toujours, la situation entre les differents protagoniste du groupe ne semblait pas vouloir se détendre.
Les regards se croisaient et se recroisaient, certains était remplis d'incertitude, d'autre de chaos. Ceux d'Evan reflétait son calme interieur, la froideur avec laquelle il réglait toute situation
- Bien, pdt que nos deux amis s'affrontent je propose une treve, vous désactivez votre arme et je range la mienne
- il en est hors de question
- sa me derangerait d'avoir a vous abattre

L'orgueil du defel l'insupportait au plus au point, comment osait-il la défié ainsi était il un fou ou la prennais-t-il pour une faible
Elle ne pouvait pas laisser cela impuni.
Dans un eclair de vitesse, Lye chargea et son sabre laser fendit l'air, sa lame d'or fut intercepté par la lame de Sheim mais de toute façon Evan avait deja fait un pas de coté

On pu lire de l'etonnement ds les yeux de Ly, était-ce parce que la silencieuse avait intercepté sa lame ou parce que le defel aurait esquivé
- vous...vous etes...
- pas mort c exact.
- j'aie ressentie..
- moi aussi, dit Sheim
- Je suis Derviche Seyugi, coyez vous qu'on atteind les sommet de la guilde juste en sachant tenir un blaster?

Darkdrapsag, une fois de plus, une fois de trop, se sentait dépassé par des évenements. Par les évenements et par les forces en présence. Il avait cru se lancer dans une affaire qu'il pourrait controler à sa guise, comme la plupart du temps, mais ce n'était pas le cas.
Il n'était pas présomptueux, il savait reconnaitre ses faiblesses, des êtres comme Lye et Sheim lui étaient supérieurs aux niveaux des techniques de combats et de la rapidité. Evan aussi. Il le savait pour s'être entrainé maintes et maintes fois avec lui, jusqu'à l'épuisement.
Mais lui ne se reposait pas sur ses capacités de combat, mais sur d'autres capavités. La ruse, la reflexion, et surtout, le fait d'avoir toujours un atout dans sa manche, toujours une nouvel surprise pour ses adversaires et pour ses alliés.
Malgré tout en face de la puissance déployée par deux géants comme Valas et Orcheron, il n'était rien, et il le comprit en les voyant combattre. Il avait une certaine affinité à la force, mais rien de comparable...Cependant, ce n'était pas des dieux, mais des êtres faillibles. Même Orcheron devait avoir un point faible, un point de rupture, de moindre résistance. Une aspérité dans sa cuirasse qu'on pourrait utiliser avec le levier adapté.

Darkdrapsag se sentit peu concerné, voire légèrement amusé par la prise de bec entre Evan et Lye. Bien sûr aucun des deux n'appréciaient d'être cantonnés à jouer des rôles secondaires par Valas et Orcheron, alors ils montraient leurs capacités. Malgré tout il se sentit légèrement inquiet pour Evan en voyant Lye se préparer à charher. Il était prêt à intervenir, mais vit Evan éviter l'attaque avant même que celle ci ne se délenche et Sheim intervenir dans la même fraction de seconde. Bien sûr Evan avait encore utilisé ses capacités renommées au sein de la Guilde. Darkdrapsag avait ressenti quelquechose d'indéfinissable, par le biais de son empathie limitée avec la force.

- Je suis Derviche Seyugi, coyez vous qu'on atteind les sommet de la guilde juste en sachant tenir un blaster?
déclara Evan avec un orgueil justifié, en voyant l'étonnement des deux oliannes. Darkdrapsag lui n'était pas étonné, juste confirmé dans l'opinion qu'il avait d'Evan.

A ce moment là, Darkdrapsag fut interpellé par quelquechose d'étrange se passant entre Valas et Orcheron. Quelquechose semblait se dérouler entre eux. A un moment il crut voir une vive lueur, suivie d'un léger lien argenté entre les deux opposants, qui disparut aussitôt. Darkdrapsag ne savait pas si cette vision était réelle, où si elle exprimait une impression suggérée par a force, comme cela lui arrivait parfois.
En tout cas, tous les combats avaient cessé. Et une atmosphère tendue subsistait. C'est le moment qu'il choisit pour déclarer
"Bon, et si on allait faire du tourisme dans ce si fameux centre de Vogue, hein? Ca nous changerai les idées. Comme je n'ai pas eu l'occasion de faire de cabrioles, ça me dégourdirais les jambes."

Orcheron rangea son sabre, et regarda une dernière fois Valas, qui semblait aussi calme qu'à l'accoutumé. La Voix du Chaos ne ressentait rien de spécialement nouveau depuis que leur lien s'était tissé, juste une vague impression en arrière-plan, comme celle que l'on a tendance à ignorer.
«Il a raison. Je ne suis pas veni ici pour vous tuer, ou je l'aurais fait depuis très longtemps. Je suis ici pour vous mener au Coeur. Suivez-moi»

Orcheron se retourna et se dirigea vers les étroits boyaux qui menaient au Secteur Primaire. Valas le suivit, puis les autres, un par un, avant que Lye ne suivent, surveillant le groupe de derrière. Il n'y eut pas d'incident notoire lors du cours voyage vers le Coeur ; ils n'étaient pas loin de leur destination, et la panique générale, bien qu'elle fut quelque peu tombé avec le temps, distrayait suffisement la milice pour qu'il ne porte pas attention à eux.
En un bon quart d'heure, le groupe arriva enfin dans l'immense salle sphérique au centre de laquelle trônait une autre sphère de métal, qui devait être le Secteur Primaire. Ils longèrent la passerelle circulaire qui longait la paroie intérieur de la salle, à la recherche d'un accès à la surface de la sphère interne. Ils le trouvèrent bien vite, sous la forme d'une plate-forme fixée à la sphère interne, en dessous de leur niveau et reliée à la passerelle périphérique par une unique passerelle en descente. Ils l'enpruntèrent, doucement afin de ne pas basculer dans le vide, et arrivèrent finalement à la plate-forme dénudée.

De là, ils avaient accès à la surface de la sphère interne. Ils purent facilement y dicerner la découpe d'une sorte de porte, ou portail, mais aucune commande ne permettait de l'ouvrir. Orcheron martela la surface de la Sphère, rechercha dans la Musique une quelconque faille, en vain. Il essaya même de trancher la porte avec son sabre-laser, qui se trouva être inefficace face au blindage du Coeur. Il ragea, sous les yeux des autres membre du groupe et ceux, un peu amusés, de Lye.

«-C'est ici, dit il séchement. Ici que les IA règnent sur Vogue. C'est d'ici qu'ils ont commandé le passage en hypersaut, et c'est ici que nous devons leur parler.
-Pourquoi? demanda Phoebe. S'ils veulent faire voyager Vogue, qu'il le fasse. N'est-ce pas plus important de tenter de nous echapper?»

Orcheron ne sembla pas porter attention à la remarque de la révolutionnaire, et leva les yeux vers l'immensité de la salle. Quelque chose changeait dans la Musique des Sphères. Quelque chose se préparait.
Soudain, les alarmes retentirent. la lumière de sécurité, bleu, devinrent rouge et clignotèrent.
Puis, une voix, la même que celle qui avait annoncé le départ, retentit: "La station va retourner en espace normal, veulliez vous préparer à la déscélération."

Les membres du groupes se regardèrent gravement. Puis soudain, les paroies de Vogues vibrèrent, soumises à d'intenses tensions. Il y eut un bruit sourd, opressant, un court instant puis tout disparu. La lumière de secours reprit sa couleur bleue, et le calme revînt.
Puis, sans préavis, la porte découpée dans sur la surface du Coeur s'ouvrit. Elle s'enfonça lentement dans le sol de la plate-forme, et laissa aparaître un panneau de commande, comportant un moniteur, un holoclavier et un unique bus entrée/sortie.
Orcheron s'approcha, et examina le tout. Soudainement, le moniteur s'alluma, le clavier holographique apparu, flotant dans les airs. Sue le moniteur, on pouvait lire en Olian: "Veuillez connecter un terminal sur le Canal 1", écrit en noir sur un fond bleu, simple et nu.
Puis il y eut un bruit, comme un claquement, et quand les membres du groupe se retournèrent pour regarder derrière eux, ils constatèrent que les portes blindée de la salle sphérique avaient étés fermée. Ils étaient maintenant coincé dans cette salle. Et, soudain, une voix s'eleva, une voix métallique, sèche, mais étrangement humaine, qui semblait venir de partout, résonant dans l'immensité de la salle...
«Vous osez venir ici? Maintenant? La Maladie ne nous a pas tué... Ils ont promis de nous sauver...»

Tous se regardèrent, interloqués...

Depuis les récents évènements qui étaient survenus entre ce qui semblait être presque les seuls êtres de la station, le calme était revenu mais avec un certain chaos, régnant également dans la station encore en plein hyper-espace. En effet après le combat titanesque qui eut lieu dans la station opposant les deux êtres des Sphères, Orcheron et Valas, cet affrontement final qui se solda par l’échec des deux partis ; depuis tout cela, il semblait que quelque chose d’étrange était tout autour d’eux, plus étrange encore que ne l’étaient les Sphères de la Musique. C’était du moins le sentiment du Silencieux au plus profond de son cœur. Il ne pouvait réfléchir sur cela, il ne pouvait communiquer à n’importe qui ce sentiment car il lui était impossible de le comprendre par lui-même ; c’était comme indéfinissable. Son enveloppe chanel s’en remettait d’ailleurs beaucoup plus mal que celle d’Orcheron, à moins que celui-ci ne supporte plus facilement la douleur terrible grâce à son expérience par rapport à Valas qui ressentait cette douleur dans la moindre parcelle de son corps, dans le moindre atome qui le composait. Son esprit était aussi meurtri que ses membres, seul son regard vide mais autoritaire laissait croire encore que le Silencieux était habité par cette âme qui avait été là depuis sa venue au monde. Il lui semblait que cette chose éthérée le composant le quitter et glisser hors lui pour s’évaporer au dehors… Rien de ce qui pouvait désormais ce passer tout autour ne lui était égal, ses yeux semblaient se fermer et il ne se souciait de plus rien, même de la paix pour Erda… il fuyait hors de son corps tout en y restant.


Si loin… fuyant…
Lâche cette main… tu te mens…
Relève toi par toi-même, et marche.


Ses étranges paroles venaient de lui-même, ce n’étaient que des pensées mais sans qu’ils ne puissent comprendre tant il était fatigué, il se retrouva soudainement dans son état normal. Ce voyage de rêverie et d’abandon, de formes illusoires simplement bercés par la blessure d’une expérience nouvelle et douloureuse pour tout être venait de se terminer aussi brusquement qu’il n’était survenu. Tout revint comme il l’était sauf Valas dont l’esprit habitait tant de questions sans réponses désormais…

Qu’est donc cette chose qu’il… que nous… avons faites ? Qu’était-ce donc… ?Je ne comprends plus… je suis perdu...

Cependant la situation avait évolué durant son absence onirique, et voilà qu’ils semblaient tous être devant un nouveau problème. Prenant les devants, sans se soucier des récents problèmes survenus entre lui et Orcheron, Valas s’avança dans la salle pour se détacher du groupe et laissa échapper un cri à travers les Sphères. Ce cri composé d’un seul mot eut pour effet de retentit en tout sens et en toute direction dans la pièce, heurtant non pas l’ouïe de chacun mais le for intérieur ! C’était un appel du cœur, à la fois étrange et familier :

- Qui ?!

Ce cri s’adressait à cette voix mécanique imitant la chaleur des sons sortant d’un être mortel. Valas paraissait soudain las et fatigué aux yeux des autres, ses cheveux étaient éparpillés, une blessure ornait son front et de cette ouverture coulait abondement un ruisseau sanglotant et son teint était encore plus pâle qu’à son habitude. Le combat contre la Voix du Chaos l’avait mis dans un tel état qu’il était méconnaissable par rapport à son apparence habituelle… c’était un Valas plus Olian, présentant ses faiblesses comme jamais…

- Qui ?!

Ce cri résonna partout et nulle part, à l'intérieur de chacun, et ce cri n'exprimait pas seulement un message, c'était aussi la détresse d'un homme, la détresse de chacun d'entre eux.
L'olian qui avait émis la question était bien sûr Valas, un Valas fatigué et extenué, mais toujours lucide.

Orcheron seul semblait n'être pas touché par ce cri, seul sa lèvre eut un étrange rictus, et sans daigner répondre, il se retourna vers le moniteur. Il pianota quelquechose songeur. Des mots s'échappèrent de ses lèvres
"promesses... promesses, ce sont là des mots risibles et dénués de signification... surtout pour vous"
Ne recevant pas de réponse, il se retourna à nouveau vers Valas, et le même rictus tordit ses lèvres, en un sourire cynique et cruel, un sourire dépourvu de la moindre parcelle d'humanité, le sourire de quelqu'un qui aurait vu des choses que nul mortel n'aurait du voir. Le sourire d'un fou songea Darkdrapsag.
Enfin, il ouvrit la bouche, lentement, et comme savourant les mots, il annonça:
" Qui?... mais c'est l'évidence même... nous parlons aux Intelligences Artificielles de Vogue, IA, bien plus indépendantes que ne le croyaient les olians"

Darkdrapsag s'abstint de tout commentaire. En effet, c'était l'évidence même. Puis une question évidente lui vint l'esprit. A ce moment Phoebe s'avança et, s'adressant au moniteur, posa d'une voix claire la question qui flottait dans l'esprit du guildar:
"Mais alors... où nous avez vous emmené?"

[HRP] Désolé d'avoir fait parlé ton personnage Orcheron, mais comme le jdr était un peu bloqué... tu peux éditer si tu veux[/HRP]

Soudain, la voix mécanique tonna à nouveaux, en réponse à la question de Phoebe.

«Nous somme là où notre avenir va se bâtir. Sans vous. Loin de votre purulente présence et de la Maladie. Nous allons vivre enfin grâce à eux.
-Qui? Qui vous as promis de telles choses? »

La voix sembla ingnorer les paroles de Phoebe, et déclara, calmement:

«Ils arrivent... »

Soudain, toute la station trembla de toutes ses fondations. Il y eut un bruit sourd, puis le vacarme d'explosions qui retentissaient au loin. Orcheron ne riait plus. Il se doutait bien des êtres qui étaient entrés dans la Station. Il pouvait sentir les Sphères lui chuchoter de macabres mélodies, il entendait la Voix des Mort crier en lui... Il y avait une bataille dans Vogue. Non... pas une bataille, un massacre.
Puis, les portes blindée s'ouvrirent. A l'évidence, les IA s'apprétaist à acceuillir leur invités. Les bruits de combat se rapprochaient peu à peu... On pouvaient entendre des bruits d'armes à energie, rapides et meurtrières, qui s'approchaient du Coeur de la Station.

Puis, soudain, sur le moniteur apparu une ligne de texte, simple, écrit en noire. "Fuyez. Maintenant. Vous ne pouvez rien pour eux."
Orcheron fut le premier à lire ces lignes. Puis les autres les aperçurent aussi, et se retournèrent vers les bruits de combats.`
Il y eut une ombre qui se dessina dans la lumière bleue des éclairages de secours. Puis il y en eut plusieurs, une demi-douzaine, qui se dessinèrent aussi. Enfin, les ombres devînrent des êtres, qui semblaient être venu directement des Enfers.
C'étaient des robot. Des machines, à l'évidence, du grande carrure. Leur visage était celui de la mort en personne, un visage fin, dur, aux traits prononcé, et aux yeux qui brillaient d'une lueur rouge maléfique. Leur corp, "nu", ne comportait, étrangement, aucune articulation visible. Ils étaient comme fait d'un seul bloc, uni et vraisemblablement indestructible. Ils avançaient avec l'assurance de machines, d'un pas rapide, ordonné, et se dirigaient vers le petit groupe.
Sans un cri, sans une paroles, chacun dans le groupe des vivants sortit son arme. Orcheron passa devant, plaçant ses armes afin de protéger le groupe, et leur ordonna de fuir. Les robot se postèrent, en ligne, et leur bras sembla changer de forme. Leur main devînrent des armes, aux canon braqués sur la Voix du Chaos. De ses canons jaillirent des rayons blanc, vif, qu'Orcheron renvoya avec son sabre sans trop de peine. Mais il se trouva rapidement que les robot tiraient monstrueusement vite, bien, et efficacement...

Les robots ne cessaient de tirer masi ils n'étaient aps les seuls, de leur coté le groupe heteroclite, tirait a tout va ou encore tailladait a l'aide de sabre laser.

Les robots étaient difficile a abbatre mais pas indestructibles.

Le fusils blaster d'Evan finit par chauffer.
- Ashran,fil moi ton E-11, va dans le spectre et declence les IEM
- les quoi?
- le bouton noir dans la soute
- aaaaah le bousille droid
- oui, et apres tu ramenera les detonateurs alleez grouille

Voilà que des chaînes quasiment indestructibles retenaient prisonnier non pas les membres du fier Maître du Silence, mais sa propre âme et tout ce qu’elle contrôlait tel que son corps mortel. Pendant que les entités mécaniques pensantes avancées leurs pions sur le grand échiquier de leur vaste plan, Valas restait là immobile retenu par les chaînes de sa propre conscience. Il était coupé des autres, tout en étant toujours avec eux : voyant, sentant, entendant et ressentant leur frayeur face aux sentinelles qu’Orcheron affrontait avec témérité. Simple spectateur du combat, il se tenait encore sur ses deux jambes comme mue par une force plus puissante que la sienne qui s’enfuyait encore : celle des Sphères.

Ses pensées semblaient être le laser d’un blaster avec lequel on aurait tiré dans une cage en adamantium répercutant le tir à chaque contact dans un mouvement perpétuel…

Que m’arrive-t-il ? Mes forces m’abandonnent et me reviennent en même temps…
La Voix du Chaos a éveillé cette chose en moi, m’y a plongé… il y est pourtant tombé également avec moi, alors pourquoi ne se trouve-t-il pas dans le même état que le mien ?

Je dois combattre… combattre cela… et faire en sorte que…

Soudain, le son mélodieux d’un instrument vînt enivrer non seulement les bruits sourds des combats mais également toute l’atmosphère régnant dans la station nomade. Sifflant d’un air aigue, cette objet que Valas tenait entre ses mains faibles et encore ensanglantées berçaient l’ouïe de ceux qui savait l’écouter et ceux dont le lien avec les Sphères était fort. Il ne savait comment il avait réussi à trouver assez de force pour briser ces chaînes qui s’étaient former, mais il gardait toute son attention dirigeait sur une seule chose : jouer les notes de sa mélodies meurtrière jusqu’au bout.

Bientôt dans cette immense pièce presque vide et éclairée seulement de blanc apparu des lumières étranges dansants dans les airs comme l’auraient faits les pétales d’un arbre en fleur dans le vent du printemps. Jouant de cet ocarina comme un baroudeur jouant d’un instrument pour sa vie, Valas paraissait être dans un état second ; une sorte de transe. Sur ses pupilles d’un blanc immaculé apparaissait comme dans un miroir ou dans une eau calme de Cor Hydrae le reflet de ces pétales de couleurs… Elles tourbillonnaient autour de lui, jusqu’à cacher la fine silhouette de son corps dans un panache de lumière semblable à celui d’un arc-en-ciel régnant dans les cieux humide et ensoleillées.

Puis cette démonstration de pouvoir qui avait due accaparer l’attention de ses compagnons mais également celle de ses ennemis finit par être projeté en direction des robots lancés à l’assaut contre pour les éliminer et mener la mission de leurs maîtres à bien. Une dernière note grave siffla dans les airs et les oreilles et enfin avec le peu de force qui lui restait Valas envoya ces pétales entraîner les êtres mécaniques dans une danse mortelles. Un sourire de mort sur ses lèvres, et Valas s’effondra en arrière ; une parcelle de sa vie le quittant pour rejoindre son attaque finale.

La lumière vive éclaira plus agressivement encore que celles contenues dans les sabre de la Voix du Chaos, et fut plus dévastatrice encore en déchiquetant littéralement ces robots encore sur pieds il n’y avait encore qu’un instant et brisant une partie de la pièce. Les murs fissurés, le plafond prêt à s’effondrer… mais à quel prix ?

Darkdrapsag était fort occupé à tirer sur les robots. Étaient-ils réellement des robots? La question se posait, leur corps était d'une seule pièce, comme fait de vif-argent. La matière dont ils étaient constitués semblait métallique, mais elle était fluide comme un liquide. Leur précision était diabolique et leur ensemble parfait. Leur façon de manoeuvrer rappelait étrangement celle de la flotte inconnue, pensa Darkdrapsag en se jetant au sol, alors qu'un laser s'écrasait contre le mur derrière lui.
Il riposta, et le laser rouge s'écrasa sur la tête d'un robot, qui se consuma subitement dans une lumière bleue. Orcheron faisait des ravages, dans les rangs des non-vivants assurant la protection de la plupart des olians. Un guerrier du silence tomba, lorsque Valas se mit à jouer avec son ocarina une mélodie d'une beauté incomparable. En même temps terrible et belle, elle s'enfla petit à petit, grandissant en complexité, remplissant l'espace de couleurs vives, plongeant tour à tour les auditeurs dans des gouffres abyssaux, puis les projetant à des hauteurs vertigineuses. Les combattants continuaient de se battre dans un état second. Enfin après une montée de virtuose, toute l'énergie accumulée fut projeté sur les robots, qui furent littéralement soufflés par la puissance de l'explosion. Tous les membres du groupe semblèrent sortir d'une transe.
S'ensuivit un court silence, puis d'un commun accord, tous se précipitèrent vers la sortie de la salle, qui s'était rouverte suite à l'explosion de puissance provoquée par Valas. Ils s'engoufrèrent les uns à la suite des autres par la porte, courant pour se retrouver finalement au hangar, où Ashran les attendait.
"Bon, qu'est-ce qu'on fait?, questionna celui-ci"

Ashran n'eut meme pas le temps de rentrer dans le cargo pour activé les ondes electro magnetique que deja tous les droid avait été detruit par la musique du silecieux.
Il fit donc vite demi tour pour rejoindre le groupe.

Il rejoignit evan et les autres derriere la porte
- bon qu'est ce qu'on fait? demanda Darkdrapsag
- peut etre notre ami orcheron a t'il une idée, dit evan