"Un caillou perdu au bout du monde et habité par des fous"
Voilà une phrase d'un écrivain Olian au sujet de Nouveau-Port. C'était une planète sans grand intéret, sans charme, et qui à première vue ne servait à rien... Pourtant, les colons qui l'avaient découverte comptaient en faire une halte pour les prochain colon qui se risqueraient à l'éxtérieur, dans l'inconnu.
Mais que nenni, cette colonie était déséspérément réstée le havre d'une bande de marginaux, tentés pas un isolement presque masochiste. Pour seule citée portuaire de la planète, grande pour la population de la planète, on comptait Jaedennar. Le point de rencontre, si ce n'est des colons, de bandits notoire et de traficants de drogues et de nanotechs illégaux divers.
Une planète qui semblait avoir perdu tout espoir, une planète qui voyait son dernier jour se lever péniblement, les rayon de la naine rouge qui lui servait de soleil perçant avec difficulté la brume matinale qui s'élevait dans les plaines sans vie autour de Jaedennar.
Les rues s'annimèrent, les bars se remplirent, il y eut quelque meurtre comme à l'accoutumé, comme une fin innéxorable aux sombres affaires qui se tramaient dans la ville.
Deux heures après, c'était le zenith. Les journée sont courte sur Nouveaux-Port, tout comme les années qui durent 29 jours. Les pâles rayons de l'étoile frappaient la ville de plein fouet, quand soudain quelque chose d'extrèmement innatendu se produisit.
Le solein fut eclipsé par quelque chose. Ce n'était ni une lune, puisque la planète n'enn avait pas, ni une autre planète qui s'était interposée entre l'étoile et elle, puisqu'elle était au prmier rang dans le système stellaire. Non, c'était quelque chose d'autre... beaucoup plus proche de la planète... et beaucoup plus inatendu.
Les rare (à vrai dire, les 2 seuls) vaisseaux en orbite de la planète à ce moment furent spéctateur d'un beau mais, indéniablement, térrifiant spéctacle. Des immenses vaisseaux... non, des bâtiments... des cités entière... on aurait même dit des proto-planète, immenses, collossale, innommables, aux formes travaillées et éffilées et pourtant monstrueuses, flottaient autour de Nouveau port. Le pilote d'un de ces vaisseaux (il faut l'avouer, peut prompt à réagir) décida de rester immobile, peut-être dans l'espoir de ne pas se faire remmarquer, et d'observer. Ce qu'il observa fut en dehors de toute description, au delà de toute horreur, de toute conception olianne de ce que pouvait être la guerre, car cela semblait bien être la guerrer -du moins si ce ne l'était pas, ces "visiteurs" avaient une étrange façon de se présenter-
C'était le silence.
Ce fut l'Enfer
Puis il n'y eut plus rien de Nouveaux-port qu'une surface vitrifiée, passée sous le feu infernal des bâtiment qui l'avaient entourées.
A ce moment-là, le pilote jugea judicieux de passer en hyper-saut vers le planète civilisée la plus proche afin de prévenir le reste de l'Hégémonie qu'il y avait sérieusement quelque chose qui clochait.
