Le synopsis est carrément pourri...Trés gentillé...Désolée
Nan...c'est une vision trés limitée, sur orbite...celà dit il manque quelque chose de fondamentale à dire...La souffrance psychologique, une "psychose" dans laquelle tombe le personnage principal...la schizophrénie???...En tout cas, c'est une belle démonstration réussie...
"Brave type" est incontestablement le double et le "héros" que "Edouard Norton" vénère et aimerait être...Une identité "morcelée"qu'il essaie de reconstituer (comme tous les schizo...) dans sa "vision", noire, "apocalyptique" et fracturée du monde (Fincher a frappé trés fort sur les plans, les cadrages...ect...)
Il projette en lui des fantasmes, des désirs pour palier à ses frustrations, ce que fait le genre humain...
La magnifique, jolie "névrosée???", et sensuelle "Héléna Bonham Carter"...joue un rôle déterminant aussi quant à l'avenir de cet homme...Mais j'en dit trop...
Ce film me rapelle "The Wall", d'une certaine manière...Un mutisme sévère, voir "autistique" ou "le chanteur du groupe" rêve de contrôler le monde, et dans lequel il se réfugit avant de briser le mur ...
Pour le coté anarchiste mouais, j'aime un peu moins ...anarchiste nihiliste alors...