Les Forêts de Drúadan

La navette lambda atterissa dans un région de la forêt située loin de tout territoire de l'étrange tribu. Là se trouvait un camp protégé par des murs métallique mat qui comportait un couche de bois par dessus. Dan sortit du vaisseau avec un homme en uniforme portant les signes du haut-gradé. Ils discutaient dans une langue inconnue dont personne dans le camp, sauf eux, pouvaient parler. Il entrèrent dans un petit bâtiment qui servait de cantina pour les officiers. Ils commandèrent alors chacun un verre d'eau puis ils s'assirent à une petite table.

- Alors, tu as compris, ton rôle là-dedans n'est pas mineur, donc on s'adresse avec respect aux gens.
- Ces gens ne sont pas des non-Ibaidiens, Ifonas. Je ne me méfie pas d'eux. Au fait, qui est le nouveau grand protecteur?
- Hé bien, c'est moi!
- Houla, on s'éloigne des traditions avec ça!
- Ibaid n'a plus une mentalité conservatrice maintenant. Le temps monarchique dictatrice est terminé, en bref. Ils m'ont sûrement choisi pour ce rôle à cause de mes actions et de mon intêrêt pour Ibaid.
- Sans doutes...

Il buvèrent tranquillement leurs verres, parlant de tout et de n'importe quoi. Ils finirent par arriver à un sujet plus sensitif pour le compagnon de Dan.

- Je sais que c'est dur pour toi, mais elle morte aux côtés des siens, tel elle le voulait.
- S'il y aurait eu une pire mort possible, on serait aux enfers, Dan! J'ai tout fait pour l'empêcher de participer. Elle était ma dernière fille, ma dernière descendante. Morte comme sa mère, massacré par des Vongs.
- Tu n'aurais du laisser libre cours à ta rage pour entreprendre cettre campagne contre Zenoma Zekot. De toute façon, tu savais qu'il y avait d'autres Vongs pour venger Zekot après sa destruction.
- Tu parles comme ton père, et ton grand-père, tel tous ceux qui été mis sous l'aile d'Orran. Sages paroles, mais ça ne fera pas revenir Larii!
- Il est sûr que tu ne pourra jamais la revoir, étant donné...
- Ouais, ouais, je sais... Si on allait prendre l'air?

Ils quittèrent la cantina, voyageant à travers le camp, continuant à discuter jusqu'à la tombée de la nuit où ils allèrent se coucher. Le lendemain, les deux amis se dirigèrent avec une quarantaine de personnes en dehors de la forêt, prenant soin d'éviter le territoire de la tribu. Non par peur, mais par respect...

Le petit cargo hybride jaillit de l’hyperespace tout près de Cor Hydrae, une manœuvre bien spécifique pour éviter de se faire repérer par d’éventuels vaisseaux patrouillant dans le secteur. Toute la verrière et les moniteurs étaient remplis par la sphère verte et bleue de la planète, offrant un spectacle grandiose aux occupants du cargo. Le silence régnait à bord tandis que le Caporal Mih’kal se préparait à pénétrer dans l’atmosphère. D’après lui, ils n’avaient pas encore été localisés. Brusquement, le cargo fut violemment secoué et plusieurs sirènes se mirent à hurler. L’éclairage vacilla quelques instants et certains moniteurs s’éteignirent. Mih’kal luta un moment avec les commandes pour rétablir l’appareil.

"Chasseurs en approche ! s’écria le Colonel Ardelius en consultant l’écran radar. Une escadrille de trois chasseurs de la Confédération ! Ils refont un passage !

Le caporal fit bondir le cargo en avant pour tenter de leur échapper, mais il fut aussitôt rattrapé par les chasseurs qui ne tirèrent pas mais ouvrirent une communication.

"Cargo non identifié, veuillez vous identifier immédiatement ! ordonna la voix d’un des pilotes. Vous naviguez illégalement dans l’orbite de cette planète ! Préparez-vous à être abattu si vous refusez de coopérer !

Mih’kal lança un regard à l’Amiral Slays qui semblait ne pas être affolé par la situation.

"Répondez-leur, ça nous permettra de gagner du temps ! répondit à sa place Ardelius. Que suggérez-vous, monseigneur ?

- Normalement, l’espace de Cor Hydrae n’est pas sous la protection de la Confédération. Je ne comprends pas ce que font ces chasseurs ici...

- Ici cargo AA-2455b, mentit Mih’lak dans la radio. Nous avons des problèmes de communication et de moteurs. (Ardelius leva un sourcil.) Nous devons nous poser d’urgence quelque part !

Le pilote ne répondit pas tout de suite.

"Cargo AA-2455b, votre identification ne correspond pas à votre type d’appareil dans nos fichiers. Veuillez vous préparer à l’abordage pour un contrôle de sécurité. Tout mouvement suspect de votre part entraînera votre destruction immédiate. Terminé !

- Que fait-on ? demanda anxieusement Mih’kal. S’ils montent à bord, nous sommes faits !

- Le mieux serait de rejoindre la surface de Cor Hydrae par tous les moyens, fit Ardelius. Quitte à nous faire abattre en route...

- Ce qui ne sera pas sans conséquences pour nous, termina Slays.

- Avec notre soi-disant problème technique, nous pourrions peut-être leur faire croire que nous ne pouvons plus nous arrêter et, comme je l'ai dit, que nous sommes obligés de nous poser, proposa Mih’kal.

- Un peu léger comme proposition, caporal, remarqua Ardelius avec une pointe d’ironie. Mais nous n’avons pas vraiment le choix...Les faire monter à bord nous forcerait à nous en débarrasser, ce qui ne nous arrangerait pas vraiment.

- Trèves de tergiversations, messieurs ! coupa Slays. Il faut se décider, car ils arrivent. Une chose est sure : il ne faut pas qu’ils montent à bord. Ce qui nous laisse véritablement très peu de possibilités. Laissons-les approcher un maximum du vaisseau puis mettons toute la puissance dans les propulseurs et les boucliers arrière pour rejoindre Cor Hydrae. Il est évident que nous ne pourrons pas les distancer.

Les trois chasseurs encerclaient maintenant le cargo et deux d’entre eux s’apprêtaient à l'aborder. C’est alors que les moteurs de ce dernier se mirent à rugir, le propulsant à toute vitesse entre les chasseurs. Les deux pilotes manquèrent d’être aspirés dans le vide spatial et le troisième chasseur, complètement surpris, se lança avec difficultés à la poursuite du cargo renégat. Le chasseur Olian parvint au bout de quelques instants à le rattraper et ouvrit instantanément le feu. Ses canons déversèrent une pluie mortelle sur le cargo qui tentait d’éviter cette dernière tant bien que mal, zigzagant en tous sens. Mais ce que le pilote ne remarqua qu’après plusieurs minutes de course, c’est qu’ils étaient désormais dans l’atmosphère de Cor Hydrae et que la visibilité devenait de plus en plus nulle. Il dut alors se fier à ses systèmes de visée, ce qui lui fit perdre de précieuses secondes.

"On n’arrivera jamais à le semer, celui-là ! marmonna Ardelius alors qu’un tir s’écrasait de nouveau contre le bouclier. Encore deux tirs, et c’est bon !

A présent, on pouvait apercevoir le paysage verdoyant de la planète défiler à une vitesse impressionnante à travers la verrière. Le pilote Olian, dans un excès de rage, mitrailla à l'aveuglette dans la direction du cargo, le touchant miraculeusement à plusieurs reprises. Une abondante fumée noire s’échappa du moteur tribord en feu et l'appareil hybride piqua aussitôt vers le sol en tournoyant follement. Le pilote, sachant que le sors de sa proie était scellé, remonta rapidement dans le ciel et disparut, laissant celle-ci s’écraser brutalement dans la foret luxuriante de Cor Hydrae...

- Par le conseiller! Commandant, regardez-ça!
- J'ai vu, sergeant. Où pensez-vous que ce vaisseau va s'écraser?
- À pas moins de cinquante mètre de nous, mon commandant.
- Retournez au camp avec le reste de l'escadron, et mobilisez une force légère. Je vais voir le site du crash.

La dizaine de personnes qui accompagnaient le soldat le quittèrent alors, le laissant seul pour accomplir sa mission. En chemin vers le lieu du crash, on entendit un lourd bruit de métal qui se frottait contre le sol. S'il y avait des survivants, ils seraient déjà sortis de ce qui reste du vaisseau. Aidé de l'HUD de son casque, il inspecta de ses yeux les alentours de l'épave. Il repéra deux Olians, qui discutait de choses inutiles pour l'état-major, choses qu'il gardait tout de même en mémoire, au cas où. Les renforts finirent par arriver, entourant l'épave, se cachant dans les nombreux buissons.

- Voyageurs à l'aspect étrange, hein commandant?
- Identification correcte, sergeant.
- On fait?
- Rien, ce n'est pas néscessaire d'agir.

Le groupe resta alors silencieux jusqu'à ce que les rescapés quittent l'endroit. Ils s'approchèrent de l'épave puis ils sécurisèrent l'endroit.

- Bon, désintégrez-moi ce trou, soldats! Récupérez ce qui est bien, et brûlez ce satané corps! (Ces Olians, aucun respect pour les morts...) On reboisera tout après ça! Je ne tiens pas à avoir ces Olians et ces machins indigènes dans le coin!!

Lorsque Kerron Ardelius s’éveilla, il se rendit compte qu’il souffrait d’un terrible mal de tête. Il reprit lentement ses esprits et constata qu’il était adossé à un tronc d’arbre et que l’Amiral Slays se tenait tranquillement assis devant-lui, sur une souche. L’épave de leur cargo se trouvait derrière eux et Ardelius ne put que constater l’étendu des dégâts. Le chasseur les avait touché à plusieurs reprises au-dessus du moteur tribord et un énorme trou fumant remplaçait ce qui était autrefois une plaque de blindage. La verrière du cockpit était complètement éclatée et tout l’avant de l’appareil était encastré dans un imposant tronc. Le reste de la coque était complètement cabossé, voire arraché à certains endroits. De petites flammes s’en échappaient même. Le colonel, même s’il ne disposait pas de talents en matière de mécanique, comprit que leur vaisseau était beaucoup trop endommagé pour être réparable. Le crash avait formé une impressionnante déchirure dans la forêt. Des arbres avaient été littéralement déracinés et une énorme tranchée de terre et de végétaux était dessinée depuis l’endroit où le cargo avait touché le sol pour s’arrêter violemment jusqu’ici, dans cette petite clairière. Le spectacle était bouleversant.
Ardelius tenta de se relever et Slays le remarqua aussitôt.

"Ah, colonel. Je commençais à me demander si vous reviendriez à vous rapidement. Rasseyez-vous encore quelques instants. Vous avez été sévèrement sonné, tout comme moi. Heureusement que j’ai pu reprendre mes esprits à temps pour nous extirper de ce cargo, sans quoi nous aurions rejoint le Caporal Mih’kal...

- Il...il est mort ? parvint-il à articuler.

- Malheureusement, oui. Il n’a pas survécu au crash et est décédé sur le coup. C’était un bon soldat, et il souhaitait rejoindre le mouvement révolutionnaire par la suite. Triste fin.

- Où sommes-nous ?

- D’après mes estimations, nous sommes quelque part au nord, dans les forêts de Drùadan. Le vaisseau étant irréparable, nous devrons continuer à la marche. (Un morceau de coque se détacha soudainement du cargo et fit sursauter les deux hommes.) Nous devrions ne pas rester là très longtemps, ce ne serait pas prudent.

Ardelius réussit à se lever et ils s’éloignèrent de l’épave.

"Je suggère d’aller dans cette direction, fit Slays en désignant l’est de la forêt. Si mes souvenirs sont exacts, nous devrions rejoindre la civilisation tout en évitant les dangers principaux de cet endroit.

- Les dangers ?

- Oui, colonel. Les nombreux prédateurs sauvages et une soi-disant tribu de barbares vivant dans les profondeurs de la végétation. Mais rassurez-vous, ce ne sont que des rumeurs. Si nous restons vigilants, tout se passera bien. Je vous conseille de garder votre arme à portée de main, par précaution.

Ils s’engagèrent alors dans la végétation de l’épaisse et luxuriante forêt, espérant ne pas faire de mauvaises rencontres en chemin...

Au bout d’une vingtaine de minutes de marche à travers le conduit secret, l’Amiral Slays et ses compagnons parvinrent à gagner la forêt, débouchant au pied d’un imposant arbre aux racines saillantes. Les feuilles des arbres les plus hauts formaient un véritable tapis de verdure, filtrant étrangement la lumière.

"Par ici, indiqua Ardelius d’un geste du bras. Le nord est par ici.

- Restons vigilants, conseilla Slays en rabattant la capuche de son ample manteau sur sa tête. Nous risquons très certainement de croiser – au moins de loin – des patrouilles d’éclaireurs. Je ne souhaite pas que le sang soit encore versé, mais gardez vos armes à portée de main.

Owan tapota sur le manche de son sabre accroché à sa ceinture, tandis qu’Ardelius vérifiait le chargeur de son blaster.

"On vous suit, dit Ouina.

Une légère brise soufflait, faisant bouger les feuilles des arbres dans un son de pluie. Seuls les cris des animaux venaient troubler le calme apparent de la forêt de temps à autres. Les explosions s’étaient lentement tues, et le petit groupe avançait assez rapidement, suivant au mieux le chemin que le Silencieux leurs avaient indiqué à travers la végétation. De discrets sentiers étaient dessinés dans la litière, signe qu’ils devaient être sur la bonne voie puisqu’ils continuaient dans la supposée direction de Welgaïa. Parfois, ils leurs semblaient entendre des moteurs de véhicules éloignés. Peu après, Owan fut le premier à apercevoir le fameux étang. D’étranges animaux flottaient à sa surface parmi les nénuphars, ressemblant plus à des poissons qu’à des oiseaux. Le sentier longeait l’étang et grimpait tortueusement jusqu’au sommet d’une colline toujours aussi boisée.

"Nous ne devrions pas tarder à voir la cité, fit remarquer Ouina. Mais comment ferons-nous pour rejoindre le vaisseau, si c’est notre but ?

- C’est bien notre but, confirma calmement Slays. Par ailleurs, c’est notre seule possibilité pour quitter la planète. Nous n’avons pas d’autres solutions pour l’instant. Avec l’agitation qui doit régner en ville, nous pourrons facilement nous frayer un chemin jusqu’au spatioport.

- Espérons que le vaisseau sera toujours là et que nous pourrons l’atteindre, dit Owan. Et il reste le problème du blocus. Comment ferons-nous pour le franchir sans se faire abattre ?

- Telle est la question, Jedi Gris, répondit l’amiral. Bien, continuons.

Ils reprirent leur marche, gravirent la colline et purent enfin contempler l’architecture des bâtiments de Welgaïa. Ils purent aussi contempler les régiments de soldats qui prenaient position autour de la cité et des accès principaux. Quelques véhicules légers parvenaient encore à franchir certains sas, mais se faisaient aussitôt rattraper par les blindés rapides de l’Armée Régulière. Plus personne ne pouvait entrer et sortir de Welgaïa, ou presque...

-Merde ! Ce mot échappa de la bouche d’Owan, ils étaient confronter à un grand problème, comment franchir le premier blocus ? Ils ne pouvaient pas passer en force, ou alors ils devaient faire venir une bonne centaine de silencieux pour les aider, ils ne pouvaient pas passer par les barrages et utiliser la force pour les tromper, Owan avait encore beaucoup de marge pour ressembler à un Olian…

Visiblement les Olians qui étaient avec lui se posait la même question, comment passer ? Une fois passer le barrage ils pourraient aisément se faufiler dans les ruelles de Welgaïa.

Cela faisait déjà 30minutes que le petits groupe était bloquer sur la colline à réfléchir comment passer dans la cité. De temps en temps des arber parcourait l’horizon ou les survolait, les arbres donnait au groupe une très bonne cachette, sur et discrète. Personne ne parlait, c’était un silence presque religieux, chacun priant sa force ou sont dieu pour qu’il essaye de lui donner la solution au problème. Owan avait les jumelles il devait initialement trouver un endroit ou l’armée n’ait pas fait de barrage mais il s’égara à contempler la magnifique architecture de Welgaïa, ses maisons, ses immeubles, ses statuts, ses ponds…
*ses ponds ! Mais oui ! *
-Regardez, il y a des ponds ! Il y a donc un moyen de passer…

Ounia resta perplexe,
-vous voulez passer par le fleuve ?

-C’est une bonne idée, dit Syrus, les olians n’aiment pas beaucoup l’eau, nous ne pouvons pas voler avec les ailes mouiller, ils ne penseront sûrement pas que des gens passeront par-là et il y aura sûrement beaucoup moins de gardes que dans les barrages.

-Reste à trouvez le fleuve, apparemment, selon mes estimations il devrait se trouver à l’est de notre position…
Ounia s’envola alors, risquant de passer une tête par-dessus les arbres, puis atterrit aussi vite qu’il s’envola.

-Autant ne pas se tromper, s’écria Ounia devant le regard d’Owan. Mais effectivement tu avais raison, il se trouve bien a l’Est…

Il commençait a pleuvoir sur la planète des Silencieux, une légère pluie, fine et fraîche, tel la roser du matin sur Naboo. Naboo, ça galaxie commençait à lui manquer, ses planètes sur urbaniser, ses peuples tous si différents se croisant un peut partout dans la galaxie, ses amis aussi, et le Temple Jedi Gris… Il se demandait souvent ce qu’il se passait la bas, comment réagissait la république face au problème Olian et surtout face au Nouvel Empire…
Soudain Syrus entendis un bruit… il entendit comme des éclats de rire. Le petit groupe se mit à croupi avançant à pas de loup, au fur et a mesure qu’ils avançaient, ils entendirent plus distinctement les voix,
« AHHH ! T’es con ! Je suis tout mouiller maintenant ! Tu sais combien ça coûte à l’Etat une combinaison comme ça ? J’avais pas finit de la mettre, elle est foutu maintenant !
-Oh, c’est bon, on peut rigoler ! tu séchera vite ! et puis ta combinaison est faite pour aller dans l’eau alors que je t’y pousse ou que tu y aille tout seul ça ne fait rien… »
Deux gardes étaient là, vêtu d’une combinaison recouvrant tout leur corps, visiblement faite pour aller dans l’eau, ils étaient à coté d’un petit Lac, dans une petite clairière, entourer d’arbre, visiblement le lac devait être une source d’une rivière rejoignant le fleuve de Welgaïa.
Owan sortit son sabre laser, Ounia et les autres firent de même avec leur armes respective.
Le jedi gris allait déclencher son sabre quand Syrus fit un signe de la main.
-attendons de voir combien ils sont vraiment.
Owan fit un geste de la tête.

En effet Syrus avait vu juste, quelques minutes plus tard les deux olians furent rejoint par cinq autres gardes, tous vêtus de la même combinaison.
Syrus, Ounia et le colonel allèrent se poster de façon à entourer les gardes.
Les gardes étaient occuper à se disputer entre eux, soudain trois tires partirent de la forêt, Deux gardes furent toucher, Owan bondit sur le troisième, sabre laser en main. Il le décapita aussitôt.
Un autre tir partit des arbres abatant l’Olian qui allait tirer sur Owan.
Il restait trois gardes, ils s’étaient envoler en tirait sur Owan, le jedi déviait les tirs avec difficulté, un autre gardes fur toucher à l’aile par un tir, Owan profita du moment de flottement des deux autres garde pour les attirer au sol grâce à la force, Owan coupa en deux un des gardes qui arrivait sur lui, un autre tir vain achever l’olian blesser.
Il ne restait plus qu’un garde, deux tirs s’abattirent sur lui.

Les trois olians sortirent indemne de leur cachette, Seul Ounia avait une manche carboniser par un tir d’un garde.


-Ardelius, essayez de voir si il y a des combinaisons intactes, elles pourraient nous servir pour passer inaperçu .
-vous êtes un fin tireur complimenta Ounia
-et bien, on apprend pas qu’à se saouler dans l’Académie militaire !
Ardelius revint enfin.
-mon général, les combinaisons des gardes sont toutes endommager, en revanche j’ai trouvé des combis de rechange dans leur arber. Il y en a même une qui pourrait convenir à notre cher extragalactique.


Le petit groupe, une fois avoir revêtit leur combinaisons, ils plongèrent enfin dans le petit lac, l’eau de la rivière offrait très peut de visibilité, surtout à cause de la pluie qu’il tombait toujours sur Cor Hydrae.

Au bout d’un moment ils arrivèrent enfin à l’embouchure de la rivière, elle donnait sur un grand fleuve qui lui-même donnait quelques kilomètres plus loin sur la cité de Welgaïa.